Je vous laisse la plume : Valérie, le coaching pour garder le cap…

Le coaching est un cadre de ressourcement et cela permet avant tout la clarification d’objectifs, l’émergence des solutions du client lui-même, c’est-à-dire, vous, peut-être qui lisez ces lignes. Vous êtes le mieux, la mieux placé(e) pour en parler. Dès que vous m’en laisserez l’occasion, je vous prête donc ma plume.

Aujourd’hui, Valérie* nous parle de son licenciement et de la manière dont le coaching lui a permis de se mettre en mouvement vers sa réussite.

 » C’était un 12 octobre, dernière journée de travail en tant qu’animatrice associative. J’ai pris mes affaires et je suis partie… un peu comme une veille de vacances. Sauf que c’était mon dernier jour de travail ! Pour moi, le licenciement est arrivé comme une évidence.

Une dizaine d’années se sont écoulées et ce sentiment d’avoir fait le tour de mon poste était bel et bien présent. J’avais envie d’autre chose. Je n’étais pas pressée puisque j’avais un travail et un bon salaire. A ce moment là, je suis lucide, je suis inquiète pour l’avenir, je sais que je travaille pour une structure avec une équipe qui peine à se renouveler…. J’ai 40 ans, c’est l’occasion pour moi de prendre un nouveau départ. De toute façon, je m’étais fixé comme objectif d’être partie dans les deux ans. Mais l’après n’a pas été aussi facile. C’est comme pour tout, on se dit prêt mais on ne l’est jamais vraiment. Je savais que j’avais fait le bon choix mais je doutais de moi, de mes compétences, de ma capacité à rebondir… J’avais peur pour moi et ma famille. J’avais peur de ne pas retrouver vite un travail car c’était vital pour moi, j’en avais besoin. Et puis, un licenciement reste un licenciement. Les choses se sont passées si vite et dans l’indifférence la plus complète. Je m’étais tellement impliquée humainement et professionnellement dans mon travail que la chute a été d’autant plus violente ! Mon mari, mes enfants et mes amis croyaient en moi. Et pourtant je ne me sentais pas bien, j’étais anéantie…. Je voulais tellement retrouver un travail. Le stress m’a submergé. La maladie s’est installée. Mon corps m’a dit stoppe. C’était un signe.

Le coaching… Au départ, j’ai douté. En rencontrant ma coach, j’ai confiance. Alors j’accepte la démarche. Un nouveau défi ! Le coaching est arrivé à une période où j’avais besoin de me recentrer sur moi, de me préserver, d’apprendre à dire NON, de reprendre confiance en moi et de fuir les personnes qui m’envahissaient, me nuisaient,…. D’ailleurs, à ce moment là, je m’intéresse, de plus en plus au développement personnel. Alors je me suis lancée et ça s’est passé et plutôt bien passé. Avec ma coach je me suis fixée un objectif, un seul. Elle m’a aidé à garder le cap et à atteindre cet objectif. Au travers d’exercices simples j’ai mis en lumière mes qualités et mes compétences. Elle m’a accompagné, à chaque séance, sans jamais perdre de vue mon objectif final « retrouver un travail ». Mes entretiens professionnels, on les a préparés ensemble. Et ça a été un duo gagnant. Le 1er mars suivant, j’ai trouvé un CDD qui a abouti sur un CDI.

J’ai toujours cru, à tort, que le coaching était réservé à quelques privilégiés. Cette démarche, m’a permis d’avancer vite. La nostalgie et le doute qui m’habitaient se sont vite envolés…. Se faire accompagner s’est franchir toutes les étapes à pas à pas.  »  

La situation de Valérie, vous parle ? Vous émeut ? Vous stimule ? En quoi ce que vous vivez maintenant vous rapproche de Valérie ? Qu’en apprenez-vous sur vous-même ? Que pouvez-vous en faire ?